*Morgane BRAVO Fondatrice "Paris16"*

*Morgane BRAVO Fondatrice "Paris16"*
Crédit Photo ©Morgane BRAVO *Morgane BRAVO Fondatrice "Paris16"* Avocat de formation, études & expérience Diplomatique, Sciences Politiques... 2002 : Candidate (Titulaire) aux élections Législatives, dans la 14ème Circonscription de Paris. 16ème arrondissement * Le nouveau 16e : un arrondissement en pleine expansion... qui se renouvelle, qui s’engage! *Morgane BRAVO, from Paris, France. She's graduate Lawyer and have a Master’s degree in Diplomacy & Political Science...Diplomatic experience.

dimanche 11 novembre 2012

*BREF APERCU : Bruxelles à Paris..."Bruxelles Invest & Export...Ministère de la Région de Bruxelles-Capitale*

Journée "Outils de Communication"


Représentation Economique et 
Commerciale
de la Région de Bruxelles-Capitale en France,
La 6ème édition du showroom 

" Outils de Communication"

a eu lieu au Pavillon Dauphine

à Paris

le 2 octobre 2012






vendredi 8 juin 2012

*Dimanche 10 juin : EVITER L’IRREVERSIBLE...*


Le 10 juin prochain, nous voterons pour effacer cette défaite, tellement injuste, qui nous reste au cœur, du 6 mai 2012.
Nous voterons en pensant à Nicolas SARKOZY, nous voterons en pensant à la France et à son avenir. Cette France, désormais dotée d’un président socialiste que le peuple a élu par défaut, sans enthousiasme, mais qui est le Président de la République.
 Ce scrutin du 10 juin, le monde entier en regardera les résultats. Ce sera pour la France un choix qui pèsera très lourd sur notre avenir et celui de l’Europe.
Comme à leur habitude, les politiciens de gauche, socialistes, verts et communistes n’ont pas voulu dévoiler ce qu’ils souhaitaient faire de notre pays. Quelques annonces électorales, ne peuvent faire illusion sur leur détermination à appliquer leur programme. Les résultats pèseraient lourds sur nos épaules.
En réalité, si la France ne se dotait  pas d’une majorité de droite et du centre, c’est l’équilibre européen qui serait rompu.
La France ne peut se permettre, en effet, d’augmenter seule les dépenses publiques, de matraquer les classes moyennes, de refuser la stabilité financière que Nicolas SARKOZY avait  négocié avec nos partenaires européens.
La France ne peut accepter ce communautarisme qu’implique le vote des citoyens non européens aux élections locales, dénaturant notre tradition nationale. Elle ne peut se permettre de casser notre système de retraite dont les salariés et les retraités eux-mêmes seront à terme les victimes. Elle ne peut ignorer la compétitivité de nos entreprises en chargeant, comme le voudraient les socialistes, celles-ci par un coût du travail qui nous condamne à la récession.
L’équilibre ne se réalisera pas en confortant la domination exclusive d’un parti politique qui dominerait toutes les institutions, au sommet de l’Etat, au Parlement, dans les Collectivités locales où les syndicats  gèrent les prestations sociales.
La France est un pays qui doit s’adapter à la mondialisation et aux marchés internationaux qui sont à l’affût. Voulons-nous connaître le sort de l’Espagne, de l’Italie, de la Grèce ?
L’avenir se jouera le 10 juin au premier tour, en particulier dans le 16ème arrondissement qui sera un test national de la résistance de la droite et du centre au socialisme par la force de sa participation et par son vote.
RESTONS MOBILISES, RESTONS UNIS, comme nous l’avons été lors de nos rencontres du Trocadéro, de Villepinte ou de la Concorde.
Il faut ignorer les petites manœuvres mesquines de gens sans aveu qui n’hésitent pas à tricher, servant nos adversaires de gauche dans notre arrondissement.
Pour cela, je vous demande de me renouveler cette confiance que vous ne m’avez jamais refusée en votant le 10 juin pour le seul candidat, que je suis, dans notre circonscription, de l’UMP, du Nouveau Centre et du Parti Radical, ossature de notre future majorité parlementaire.
Claude GOASGUEN

Bien à vous,

dimanche 27 mai 2012

*Paris SG : Claude Goasguen opposé à un nouveau Parc des Princes de 60.000 places*

Dépêche AFP 

sur la position de Claude Goasguen concernant l'avenir du Parc des Princes



PARIS, 23 mai 2012 (AFP)  
Le député-maire du 16e arrondissement de Paris Claude Goasguen (UMP) a estimé mercredi que l'hypothèse d'une destruction du Parc des Princes était "improbable" et qu'il "ne saurait y avoir de reconstruction d'un stade de 60 000 places", comme le souhaite la direction du Paris SG.
Dans un communiqué transmis à l'AFP, M. Goasguen dit d'abord vouloir appeler "chacun à la raison et souligne que le stade du Parc des Princes se trouve dans un tissu urbain dense et résidentiel déjà très fortement impacté par la construction du stade Jean Bouin d'une capacité de 20.000 places".
"En cas de démolition, hypothèse tout de même improbable au regard des fortes contraintes juridiques pesant sur le site, il ne saurait donc y avoir de reconstruction d'un stade de 60.000 places", ajoute le député-maire.
"Nous rêvons d'avoir un stade de 60.000 places ici, à l'emplacement du Parc des Princes. C'est notre option N.1. Et pour avoir 60.000 places, il faut détruire le stade", avait déclaré mardi le président du Paris SG Nasser El Khelaifi lors d'un entretien avec l'AFP.
A propos de la deuxième option avancée par M. El Khelaifi, une rénovation du stade actuel qui porterait sa capacité à 50.000 places, M. Goasguen estime qu'il "ne pourrait y avoir d'extension au-delà" de ce chiffre.
Dans ce cadre, il "souhaite être étroitement associé aux discussions en cours et aux décisions qui seront prises touchant au plus haut point le cadre de vie des habitants du quartier" et demande "une large concertation" avec les riverains ainsi qu'un "projet global d'aménagement" afin "de prendre en compte et de réduire les nuisances avérées depuis plusieurs décennies les jours de match, que ce soit en termes de stationnement, d'accès au quartier ou de sécurité publique".
Dans la matinée de mercredi, Jean Vuillermoz, adjoint aux sports du maire de Paris Bertrand Delanoë (PS), interrogé par l'AFP, avait déjà jugé "impossible" de détruire le Parc des Princes et de reconstruire un nouveau stade à son emplacement.

Bien à vous,


Bien à vous,
Morgane BRAVO

mardi 1 mai 2012

*BREF APERCU : Nicolas Sarkozy au Trocadéro...*





200 000 milles personnes... à Trocadéro!


UN GRAND SUCCES...!

Le 16ème, plus que jamais, est en ordre de bataille pour convaincre le maximum d'indécis dans les derniers jours. 
Comme Nicolas Sarkozy, nous ne lâcherons rien. 
La défaite n'est pas envisageable car elle entraînerait la France dans la spirale infernale de la dette...

*NICOLAS SARKOZY 2012* par Morgane BRAVO


Bien à vous,

vendredi 20 avril 2012

*Aux abstentionnistes qui vont se plaindre !*

Aux abstentionnistes qui vont se plaindre !

En 1997 nous avons perdu une élection législative car il y eu beaucoup d’abstention à droite. Je me souviens parfaitement que beaucoup d’abstentionnistes nous disaient dans les premières semaines qui suivaient le gouvernement Jospin : « vous auriez du nous expliquer davantage ».
En 1981 nous perdions les élections au profit de François Mitterrand, qui mit le pays à plat pendant 15 ans parce que beaucoup de mécontents nous disaient « ca ne peut pas être pire ! » et ça l’a été.
C’est dire que dans ces moments cruciaux où la presse nous met à mal, vantant Hollande et étant curieusement modérée avec le Front national, il est des moments où il faut saisir l’importance d’un événement.
Ce 1er tour n’est pas seulement un combat entre Nicolas Sarkozy et François Hollande, c’est en réalité un choix de société qui nous concerne tous pour les dix années qui viennent.
Voulons-nous nous mettre au diapason de la mondialisation et de l’Europe  ou voulons-nous poursuivre la stagnation de la France et la hausse des dépenses publiques qui nous étouffent ? Voulons-nous payer davantage d’impôts pour conforter cette inertie française ? Voulons-nous être encore longtemps dépendant du Qatar et peut être demain de la Chine comme la Grèce ou l’Espagne perdant notre rang de 5ème puissance mondiale dans la dépendance de puissances émergentes, faute d’avoir le courage de constater que notre pays est en déclin ? Voulons-nous devenir un pays qui attire uniquement les touristes pour nos paysages et notre patrimoine et non pour notre innovation ? Voulons-nous donner à nos enfants un avenir libre, digne et indépendant ?